Le réseau HG DIVISION obtient sa reconnaissance Distinction de la Corporation des thanatologues du Québec
Gaspé, le 16 janvier, 2012 Le groupe HG Division a complété avec succès le programme d’accompagnement distinction offert par la Corporation des thanatologues du Québec. « Ce programme amène les entreprises à réfléchir, à repenser et à actualiser leur offre de prestation de services à leur clientèle en définissant leurs
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Gaspé, le 16 janvier, 2012
Le groupe HG Division a complété avec succès le programme d’accompagnement distinction offert par la Corporation des thanatologues du Québec. « Ce programme amène les entreprises à réfléchir, à repenser et à actualiser leur offre de prestation de services à leur clientèle en définissant leurs politiques et procédures en plus d’évaluer leurs locaux et équipements » note Dan Gleeton, vice-président de l'entreprise.
« Notre entreprise s’est dotée d’un plan de formation qui permettra à ses employés de toujours être mieux informé sur les nouvelles tendances et les meilleures pratiques dans le milieu funéraire » note Dan Gleeton du groupe HG Division.
« Nous avons implanté ce programme afin de préparer les entreprises funéraires à obtenir la certification proposée par le Bureau de normalisation du Québec et d’offrir les meilleures pratiques de prestation de services à la clientèle » mentionne Nathalie Samson, directrice générale de la CTQ.
« Nous sommes particulièrement fiers du travail accompli par l’équipe du Groupe HG DIVISION; cette entreprise se démarque déjà par la qualité de son travail et nous sommes convaincus que sa clientèle verra la différence rapidement » conclue Nathalie Samson.
La Résidence Funéraire Harris Gleeton est implantée depuis 25 ans dans la communauté de la MRC Côte de Gaspé. Son équipe de professionnels s’est engagée à toujours mieux servir la clientèle. Nos installations sont principalement en Gaspésie et dans le Bas-St-Laurent. À cette date, le Groupe HG DIVISION est la seule entreprise funéraire à avoir accomplie la certification DISTINCTION de la Corporation des Thanatologue du Québec dans l'est du Québec.
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Plus de 150 000$ en dons
Le Réseau HG Division a remis plus de 150 000$ dans la collectivité… Le cumulatif en dons des 5 dernières années représente plus de 150 000$ dont le réseau HG Division a fièrement redistribué dans la collectivité à différentes organisations afin de les supporter dans leurs projets. Voici un bref
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Le Réseau HG Division a remis plus de 150 000$ dans la collectivité…
Le cumulatif en dons des 5 dernières années représente plus de 150 000$ dont le réseau HG Division a fièrement redistribué dans la collectivité à différentes organisations afin de les supporter dans leurs projets.
Voici un bref aperçu de notre générosité :
- Association Cancer de L’Est du Québec : 30 000$
- Association Hôtel-Dieu de Gaspé : 10 000$
- Maison Marie Elizabeth : 5000$
- Orchestre Symphonique de L’Estuaire : 5000$
- Cimetière de Mont-Joli : 2000$
- Club Rotary : 2500$
- Légion Canadienne : 3500$
- Fabrique de Gaspé : 1000$
- Salle de Spectacle de Gaspé : 5000$
- Bourses d’étude Gaspé et Grande-Vallée : 2500$
- Marche de la Mémoire Alzheimer : 3000$
- Fabrique de Cloridorme : 11 000$
- Aménagement pour la cour d’école : 500$
- Fondation CRRR : 8700$
- Cercle Culturel de l’amitié : 6000$
- Marche Compostelle : 3000$
- Dîner Simplicité de Noël : 1500$
- Différentes Organismes locaux : plus de 50 000$
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Le deuil périnatal
Perdre un bébé est l’un des deuils les plus difficiles à vivre. C’est voir ses rêves de fonder une famille ou de l’agrandir s’envoler. Ce n’est pas dans la nature des choses que la vie s’arrête avant même de commencer. Les parents ont alors à vivre un long et complexe
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Perdre un bébé est l’un des deuils les plus difficiles à vivre. C’est voir ses rêves de fonder une famille ou de l’agrandir s’envoler. Ce n’est pas dans la nature des choses que la vie s’arrête avant même de commencer. Les parents ont alors à vivre un long et complexe processus de deuil. Ils ont besoin d’aide, d’encouragement et de reconnaissance. Trop souvent, l’entourage des personnes en deuil d’un bébé ne sait pas comment réagir ni comment aider.
Les parents vivre une lourde perte, un chagrin intense même s’ils n’ont pas connu leur bébé. Le deuil périnatal est particulièrement difficile à vivre pour les raisons suivantes :
- L’imprévisibilité du décès;
- Le lien affectif avec le bébé qui s’établit bien avant la naissance du bébé;
- Les pertes multiples (estime de soi, identité de parent, statut lié à la maternité ou au rôle parental, projets d’avenir);
- L’absence de souvenirs concrets;
Les parents doivent donc apprendre à vivre leur vie en trouvant la place que prendra leur petit bébé dans celle-ci, comme il ne vivra pas à leurs côtés… mais dans leurs souvenirs et dans leur cœur.
Dans le but de soutenir et de manifester notre empathie envers les parents qui vivent la perte douloureuse d’un enfant, le réseau HG Division offre aux familles éprouvées un service funéraire sans frais, pour les enfants.
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Plafonnée à 2500 $ depuis 1998, la prestation de décès des Québécois est nettement insuffisante
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Devrait-on emmener ses enfants aux funérailles?
Devrait-on emmener ses enfants aux funérailles? Les parents hésitent souvent à emmener leurs jeunes enfants aux funérailles d’un proche. D’une part, ils craignent que cette cérémonie d’adieux bouleverse trop l’enfant qui, bien souvent, n’a qu’une perception approximative de la mort. D’autre part, il se peut que l’enfant ne comprenne pas
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Devrait-on emmener ses enfants aux funérailles?
Les parents hésitent souvent à emmener leurs jeunes enfants aux funérailles d’un proche. D’une part, ils craignent que cette cérémonie d’adieux bouleverse trop l’enfant qui, bien souvent, n’a qu’une perception approximative de la mort. D’autre part, il se peut que l’enfant ne comprenne pas trop ce qui se passe autour de lui et se mette à chanter ou à parler plus fort qu’il est d’usage en de telles circonstances.
Réglons d’abord la première question : il est généralement admis que les enfants ont une vague idée de la mort dès l’âge de trois ans. Évidemment, il faut s’attendre à une avalanche de questions lors de la cérémonie et durant les semaines qui suivent. Le mieux à faire est de répondre le plus honnêtement possible dans la mesure de sa propre compréhension de la mort. Plus tard, vers cinq ans, l’enfant prendra conscience du caractère irréversible de la mort, c'est-à-dire qu’il comprendra qu’il ne reverra plus jamais la personne décédée.
Quant à la seconde inquiétude, il n’est pas rare que l’enfant se sente étranger au protocole des funérailles et qu’il affiche quelques signes d’impatience. Mais en règle générale, les gens affligés de la perte d’un être cher se montrent compréhensifs dans cette situation et ne peuvent qu’apprécier que la vie puisse ainsi continuer de s’exprimer.
Les enfants ne peuvent être indéfiniment mis à l’écart de tout ce qui entoure la mort et leur participation aux rites ne peut que les éveiller à cette réalité.
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